Historique des activités SOL3
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1. Création des Editions SOL3 par Guy et Simone Boucher et poursuite des activités par Henri Brenot
- Les Editions SOL3 ont été créées, au milieu des années 1980, par Guy Boucher, l’un de nos grands “designers” français, de la trempe de Roger Tallon, le designer des TGV…
- Parallèlement à son métier de designer, Guy Boucher s’intéressait à toutes les formes de l’art : la sculpture, la peinture… et la BD. Il était l’ami de nombreux artistes, et, en particulier, celui de Jean-Marie Pigeon – le véritable précurseur de la sculpture de Bande Dessinée – et celui de Philippe Druillet dont le grand public a pu encore récemment apprécier le grand talent qui s’exprime dans les décors et les costumes créés pour la série “Les Rois Maudits”, sur France 2.
- En fondant les Editions SOL3, Guy Boucher est également devenu leur éditeur, pour un certain nombre de leurs œuvres. Son épouse, Simone Boucher fut la gérante en titre de SOL3 dès l’origine.
- Le “Buste Tintin au mouchoir” – 39 cm de haut, est le premier Objet d’Art sculpté par Jean-Marie Pigeon, inspiré par l’œuvre d’Hergé, qui ait été édité par Guy Boucher chez SOL3, dans une série limitée prévue à 850 exemplaires.
 1994 Luc de Champris_thumb.jpg) |
Buste Tintin au Mouchoir |
© 1996 Hergé/Moulinsart |
- Les Editions SOL3 détenaient en effet les droits d’édition pour cette œuvre, grâce à un contrat de Licence Tintin qui a été géré successivement par Lombard, puis par Ellipse, une filiale de CANAL+, avant d’être repris en gestion directe par Hergé/Moulinsart à Bruxelles.
- D’autres Objets d’Art faisaient partie de la Collection SOL3 montée par Guy Boucher, par exemple :
- La “Lampe Champignon Tintin” était en préparation pour une édition à venir ; Jean-Marie Pigeon avait réalisé la sculpture, sur une idée lancée par Philippe Druillet, et Guy Boucher avait dessiné le globe en opaline et lancé une première série en fabrication chez le verrier.
- Les bronzes de Philippe Druillet : Le “Dieu noir” – 18 cm de haut, d’une part, et le “Guéridon Dragon” – 80 cm de haut, ainsi que “l’Itaï” – 10,2 cm de haut, d’autre part (fonderie Huguenin). Ces deux dernières pièces ont été sculptées par Jean-Marie Pigeon, à la demande de Philippe Druillet et de Guy Boucher. En 1997, en accord avec Philippe Druillet, les Editions SOL3 ont cédé leurs droits d’édition sur ces trois bronzes à l'un de ses amis.
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Dieu noir |
Guéridon Dragon 1980 |
Itaï 1979 |
© Philippe Druillet |
- Des lithographies de Philippe Druillet.
- Guy Boucher lui-même avait conçu et modelé une collection d’animaux qui ont été réalisés par les Cristalleries Royales de Champagne ; la même pièce comportait à la fois du cristal transparent et du cristal de couleur (sablé), ce qui exigeait un exploit technique au moment de l’assemblage. Jean-Marie Pigeon avait prêté main forte à Guy Boucher pour réaliser la sculpture de ces pièces.
- Au cours de l’année 1991, Guy Boucher qui travaillait avec Henri Brenot dans le domaine du “design”, demande à celui-ci si l’activité d’Editeur d’Objets d’Art lui paraît intéressante et valable à poursuivre. Ayant obtenu une réponse très positive, Guy Boucher convient alors avec Henri Brenot de faire équipe avec lui dans SOL3.
- Malheureusement, Guy Boucher décède en 1992…
- Au cours de cette même année, Simone Boucher et Henri Brenot choisissent de poursuivre ce qui avait été lancé par Guy Boucher, et décident de développer ensemble les activités d’Edition d’Objets d’Art de SOL3.
- Henri Brenot devient alors le gérant de SOL3. Ultérieurement, Simone Boucher décidera de quitter Paris pour s’installer définitivement dans sa maison du pays basque ; elle se retira complètement, de ce fait, des activités de SOL3 et Henri Brenot poursuivra seul.
2. Les développements de la Collection SOL3
- La Collection SOL3 s’enrichit progressivement des nouvelles créations sculptées par Jean-Marie Pigeon, inspirées des œuvres d’Hergé, dans le cadre du contrat de Licence Tintin de SOL3. Elles portent toutes le copyright Hergé/Moulinsart :
- La “Lampe Champignon Tintin” – sculpture polychrome – 38 cm de haut – série limitée prévue à 1.750 exemplaires.
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Lampe Champignon Tintin |
© 1996 Hergé/Moulinsart |
- La “Grande Jarre Tintin Lotus Bleu” – sculpture polychrome – 122 cm de haut – série limitée prévue à 24 exemplaires.
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Grande Jarre Tintin Lotus Bleu |
© 1996 Hergé/Moulinsart |
- La “Statue d’Abdallah avec son Avion Jaune” –- sculpture polychrome – 79 cm de haut – série limitée prévue à 48 exemplaires.
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Statue d'Abdallah avec son Avion Jaune |
© 1996 Hergé/Moulinsart |
- Le “Buste de Mitsuhirato ligoté” – sculpture monochrome (blanc) ou polychrome – 79 cm de haut – série limitée prévue à 48 exemplaires. Malheureusement, SOL3 n’aura jamais le temps de lancer une édition commerciale de cette pièce, du fait du non renouvellement de la Licence Tintin de SOL31.
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Buste de Mitsuhirato ligoté
(monochrome) |
Buste de Mitsuhirato ligoté
(polychrome) |
© 1996 Hergé/Moulinsart |
- La “Statue de Tchang” – sculpture monochrome (blanc) – 95 cm de haut – série limitée prévue à 12 exemplaires.
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Tchang |
© 1996 Hergé/Moulinsart |
- Pour pouvoir passer en édition, chaque création de Jean-Marie Pigeon devait obligatoirement recevoir l’approbation préalable d’Hergé/Moulinsart, sur présentation par SOL3 du prototype de chaque sculpture de Jean-Marie Pigeon.
- Conformément au contrat de Licence Tintin de SOL3, un exemplaire de chaque création ainsi agréée par Hergé/Moulinsart devait être remis gratuitement aux ayant-droits, par les soins du Manager SOL3.
- Les Editions SOL3 avaient également fait entrer dans leur Collection
des créations
de Jean-Marie Pigeon, telles que : le duo des clowns Argus et Aristote
(conçus en appliques murales) et le jongleur Armada qui s'emparait
de la lumière...
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Duo des clowns Argus et Aristote |
© Jean-Marie Pigeon |
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Le Jongleur Armada |
© Jean-Marie Pigeon |
- Comme on le voit, la “grandeur nature” est l’échelle de prédilection de Jean-Marie Pigeon.
3. Les travaux de Création, de production et d’Edition
- Ces développements de la Collection SOL3 demandent une véritable débauche d’énergie.
- Tout d’abord en création, chez Jean-Marie Pigeon ; puis en production, au fur et à mesure des commandes et des livraisons, chez Ken Koupal2, l’artisan d’Art choisi par SOL3 pour réaliser les moules3 de chaque Objet d’Art, puis les tirages des pièces en utilisant les résines appropriées, puis les “finitions” et enfin la mise en couleurs, avec des peintures de qualité “automobile”.
- Tous ces travaux de production4 se font avec le soutien et sous le contrôle permanent de Jean-Marie Pigeon et d’Henri Brenot.
- Dans les années 1990, les coûts supportés par les Editions SOL3 pour assurer ces développements sont très importants, tandis que la commercialisation des Objets d’Art SOL3 reste difficile étant donné le prix de revient inévitablement élevé de chacune des pièces ; autant dire que ces coûts n’ont jamais pu être amortis…
- Cependant, il y a toujours une conviction profondément installée chez SOL3 : rien n’est trop beau pour mettre en valeur le grand talent de ses artistes et donner une véritable pérennité à leurs œuvres.
- D’ailleurs SOL3 présentait ses Collections sous le nom générique : “Les Antiquités du Futur”.
4. Les matériaux utilisés
- Par souci de perfection, les Editions SOL3 utilisent les meilleurs matériaux : le bronze, les meilleures résines – plutôt que le plâtre – l’opaline, les peintures pour la mise en couleurs, de qualité “automobile”, les meilleures qui soient dans une très belle gamme de coloris disponibles.
- SOL3 a même mis au point avec son artisan d’Art, Ken Koupal, une résine composite faite d’un mélange intime de forton et de fibre de verre servant à “armer” la résine.
- Il fallait que cette résine composite se travaille très bien en “finitions”, qu’elle prenne les couleurs aussi bien – sinon mieux – que le plâtre, qu’elle soit plus légère qu’une résine classique5, et qu’elle soit, de plus, quasiment ininflammable et capable de résister pratiquement à tous les chocs.
- Les tests les plus sévères ont été effectués par SOL3 ; ils ont démontré que cette résine composite avait toutes les qualités recherchées. C’est ce qui explique le choix du forton par SOL3, malgré son coût très élevé.
5. La “puce électronique SOL3”, dès 1994
- Enfin, Henri Brenot • Manager SOL3, s’est énormément préoccupé de trouver le moyen de lutter contre le plagiat et la contrefaçon qui sont les signes d’un manque de respect total pour l’artiste et pour ses œuvres.
- Il fallait “marquer” chaque pièce pour qu’elle devienne “unique au monde”.
- Les recherches ont été longues et difficiles car le monde entier balbutiait encore dans ce domaine, à l’époque…
- Dès 1994, les Editions SOL3 ont finalement choisi, chez Hughes Identification Devices6, une “puce électronique” (ou “transponder”) dotée d’un numéro de code “unique” à 11 chiffres7 !
- Le “transponder” se présentait sous la forme d’un petit tube de verre, de moins de 20 mm de long, fermé aux deux extrémités, contenant un système “récepteur/émetteur” réagissant aux ondes radio, et activable par l’onde radio envoyée par un “lecteur de codes” spécifique.
- Cette puce a été implantée dans les Objets d’Art édités par SOL3, à partir d’avril 1994 et jusqu’à fin 1996, selon un Protocole exclusif défini par SOL3.
- Conformément à ce Protocole exclusif SOL3 ©, la puce peut être “déchiffrée” au moyen du “lecteur de codes” Hughes Identification Devices détenu par SOL3.
- Chaque Objet d’Art édité par SOL3, dans ces conditions, recevait un Certificat d’Origine faisant clairement ressortir le numéro de code de la puce.
6. La fin de la Licence Tintin de SOL3
- Le dernier contrat en date de Licence Tintin des Editions SOL3 prenait fin le 31 décembre 1996.
- Il aurait pu être renouvelé, comme les fois précédentes, ce qui aurait permis aux Editions SOL3 de continuer à étendre la Collection SOL3 et à diffuser les Objets d’Art créés par Jean-Marie Pigeon, à partir de l’œuvre d’Hergé, dans de bonnes conditions – jusqu’à atteindre, idéalement, le nombre d’exemplaires de chaque tirage défini à l’avance par l’Editeur…
- Malheureusement, les héritiers d’Hergé en ont décidé autrement chez Hergé/Moulinsart. Ils ont choisi de mener une nouvelle politique, comme c’était parfaitement leur droit !
- Ils ont pris la décision, à partir de la fin de l’année 1996, de ne renouveler aucune des Licences Tintin qui avaient été signées par Ellipse, la filiale de CANAL+, avec les licenciés Tintin.
- On ne peut que regretter qu’une telle décision ait été prise sans aucune considération pour les lourds investissements qui avaient été consentis par certains licenciés, comme dans le cas des Editions SOL3…
- Le sort des moules de SOL3 a fait l’objet d’une dernière négociation avec les ayant-droits d’Hergé. Selon le contrat de Licence Tintin, SOL3 devait détruire les moules, en présence d’un huissier, et fournir à Hergé/Moulinsart l’attestation de cette destruction. SOL3 a fait valoir auprès d’Hergé/Moulinsart le droit d’un artiste et de son Editeur de protéger l’œuvre de l’artiste. Or les moules sont considérés comme partie intégrante de l’œuvre. SOL3 était prêt à remettre les moules à Hergé/Moulinsart, à charge pour eux d’en assurer la bonne conservation. C’est finalement à SOL3 que Hergé/Moulinsart a laissé le soin de conserver les moules…
7. Les quantités produites pour chacune des pièces de la Collection SOL3 avant fin 1996 ?
- Les Collectionneurs se sont souvent interrogés sur les quantités réellement produites pour chacune des pièces de la Collection SOL3, avant fin 1996. La question est bien légitime.
- La rareté des pièces s’explique par l’arrêt prématuré de la Licence Tintin de SOL3, en 1996…
- Du fait de la valorisation qu’ont connu ces pièces sur le marché, on a vu se répandre quantité de “faux” et de “copies”…
- Pour donner une indication générale aux Collectionneurs, sans toutefois “renseigner” les faussaires par des informations trop précises, SOL3 est en mesure de confirmer qu’au 31 décembre 1996, aucun tirage des Objets d’Art SOL3 créés par Jean-Marie Pigeon dans la Collection SOL3 n’a dépassé le tiers du tirage limité prévu initialement pour chaque pièce par l’Editeur ; et certaines pièces n’ont pu être éditées que dans des quantités très faibles…
8. Attestation d’Authenticité, à partir de 2005
- Pour répondre à la demande des Collectionneurs, des Experts et des Assureurs, Jean-Marie Pigeon, le sculpteur, et Henri Brenot, l’Manager SOL3, ont mis au point, ensemble, une procédure d’Authentification des Objets d’Art SOL3 créés par Jean-Marie Pigeon dans la Collection SOL3.
- Lorsque, après contrôle, une pièce est reconnue authentique par Jean-Marie Pigeon et Henri Brenot, le Collectionneur reçoit une Attestation d’Authenticité.
- Cette procédure exclusive permettra de confirmer l’authenticité des Objets d’Art SOL3 qui circulent sur le marché, et par conséquent, de rejeter les “faux”.
9. La nouvelle “puce électronique SOL3”, à partir
de 2006
- Les Objets d’Art de la Collection SOL3 édités avant avril 1994 n’ont pas pu être dotés de la “puce électronique SOL3”.
- Henri Brenot • Manager SOL3, a donc mis à jour le Protocole exclusif SOL3 © – maintenant déposé à l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI) – pour être en mesure, à la demande des Collectionneurs, des Experts et des Assureurs, de doter tous les Objets d’Art de la Collection SOL3 d’une “puce électronique”, à condition qu’ils soient certifiés authentiques après contrôle.
- La technologie a beaucoup évolué depuis une décennie, et l’utilisation des “puces électroniques” se généralise maintenant à grande vitesse, dans tous les domaines.
- Dans la gamme des produits RFID du Groupe Texas Instruments8, Henri Brenot • Manager SOL3, a sélectionné :
- Une nouvelle “puce électronique SOL3”,
modèle "32 mm Glass Transponder", elle aussi dotée d'un code unique "verrouillé" par
le fabricant, composé de 15 chiffres
; dans ce nouveau modèle de puce électronique, il existe
1064 combinaisons pour composer un code unique !
- Un nouveau “lecteur de codes” issu de la plus
récente technologie hautement sécurisée qui ne permet
aucune modification du code "verrouillé" de la puce électronique,
afin de garantir la parfaite fiabilité du système d'identification
par puces électroniques de SOL39.
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© 2006 Texas Instruments Incorporated |
“puce électronique
SOL3” |
- La “puce électronique SOL3”, modèle "32
mm Glass Transponder" se présente sous la forme d'un petit tube de verre, de 32 mm de long, clos aux deux extrêmités, contenant un système “récepteur/émetteur” réagissant aux ondes radio basse fréquence envoyées par le “lecteur de codes” spécifique. Elle est implantée par Henri Brenot • Manager SOL3, dans la masse de l'Œuvre d'Art pour servir de moyen d'identification, d'authentification et de protection de l'Œuvre d'Art.
- Une Attestation “puce électronique SOL3” est délivrée par Henri Brenot • Manager SOL3, lors de chaque implantation de puce.
- Chaque Œuvre authentique est ainsi “marquée” pour devenir “unique au monde” ; aucun plagiat ni aucune contrefaçon ne sauraient y résister… Et, en cas de vol, l’Œuvre ainsi dotée de la “puce électronique SOL3” peut être parfaitement identifiée.
- Le Protocole exclusif SOL3 © comporte la gestion et l’actualisation permanentes de toutes les données SOL3 concernant les Œuvres d’Art dotées de la “puce électronique SOL3”, au sein de la “Banque de Données SOL3”. Une copie conforme de la “Banque de données SOL3” sera déposée trimestriellement à l’INPI, à Paris, pour servir et valoir ce que de droit.
10. La “cote” des Objets d’Art SOL3, créés par Jean-Marie Pigeon, en novembre 2005
- Les Ventes aux enchères publiques qui ont eu lieu fin novembre 2005, chez TAJAN et ARTCURIAL, à Paris, ont fixé la “cote” des Objets d’Art créés par Jean-Marie Pigeon et édités par SOL3 à des niveaux qui n’avaient jamais été atteints auparavant :
- “La Grande Jarre Tintin Lotus Bleu” polychrome © Hergé/Moulinsart : 33.000 €uros (à noter : le modèle vendu était en plâtre et non pas en forton).
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Grande Jarre Tintin Lotus Bleu |
© 1996 Hergé/Moulinsart |
- “La Statue d’Abdallah avec son Avion Jaune” polychrome © Hergé/Moulinsart : 20.000 €uros.
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Statue d'Abdallah avec son Avion Jaune |
© 1996 Hergé/Moulinsart |
- “Le Buste Tintin au mouchoir” polychrome © Hergé/Moulinsart : 6.800 €uros.
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Buste Tintin au Mouchoir |
© 1996 Hergé/Moulinsart |
- “Le Buste Mitsuhirato ligoté” monochrome © Hergé/Moulinsart : 17.600 €uros.
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Buste Mitsuhirto ligoté monochrome |
© 1996 Hergé/Moulinsart |
- Tandis que le prototype en plâtre de “La Lampe Champignon Tintin” polychrome © Hergé/Moulinsart, s’est vendu 6.600 €uros.
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Lampe Champignon Tintin |
© 1996 Hergé/Moulinsart |
- Pour mémoire, il est intéressant de comparer la “cote” de novembre 2005 avec les prix publics indicatifs 1996(PDF) (TTC), en francs français, que les Editions SOL3 recommandaient à leurs Clients professionnels de ne pas dépasser, dans l'intérêt des Collectionneurs, en ce qui concerne les pièces de la Collection des Sculptures Tintin de Jean-Marie Pigeon éditée par SOL3.
- Même si l’on peut regretter que tous les Collectionneurs qui le souhaiteraient ne soient pas en mesure de détenir au moins un Objet d’Art de Jean-Marie Pigeon, c’est un bel hommage qui a été rendu, au cours de ces deux Ventes aux enchères publiques, à l’immense talent de notre sculpteur, véritable précurseur de la sculpture de bande dessinée10.
11. La Marque Déposée SOL3 ®
- Le 2 novembre 2005, la Marque SOL3 avait fait l’objet d’un dépôt-enregistrement à l’INPI par Henri Brenot.
- Le 1er juillet 2012, Jean-Marie Pigeon est devenu le Concessionnaire Exclusif de la Marque Déposée SOL3 ®. A la suite de la dissolution de la société SOL3 Eurl, le 30 juin 2012, toutes les activités existantes de SOL3 ont été reprises et seront poursuivies dans le cadre de cette concession exclusive.
- En accord avec Jean-Marie Pigeon, Henri Brenot continue à exercer les fonctions de Manager de la Marque SOL3.
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